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MELQUIADES
Capitaine de Frégate


HUMAIN, MARIN, CONFIDENT DU BARON AMERLAME DE MOSCAGNE
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FLAMME 1
FLAMME NOIRE 0

Origine : Urguemand
Peuple : Humain
Sexe : M
Age : 37 ans
Taille : 1,80 m (TAI 1)
Poids :  76 kg
MVT : 3
Corps : 1 / Corps noir : 0

AGIlité : 5
FORce : 5
PERception : 8
RESistance : 9
 

Esprit : 2 / Esprit noir : 0

INTelligence : 9
VOLonté : 6
 

 

Ame : 2 / Ame noire : 0

CHArisme : 7
CREativité : 3
 

 

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ATTRIBUTS SECONDAIRES
COMPETENCES
Pot. Emprise : /
Pot. Art : /
Points de Vie
Pts Héroïsme : 2
Dague 8; bagarre 5; natation 3; vigilance 5; intrigue 2; jeu 6; baratin 7; eloquence 3; etiquette marin 5; etiquette noblesse 2; intendance 3; negoce 5; savoir faire marin 5; us et cout Urguemand 9; us et cout enclave boucaniere 3; alphabet armgarde 3 moden-hen 3, septentrien 3; astronomie 5; géographie 5; hist et légendes (histoire des objets de légendes) 6; langues khesite 9, urguemend 9 boucanier 9; navigation 7; automne 3; harmonie 7
AVANTAGES
DEFAUTS
SORTS
Erreur profitable
Instinct de perfection
Volonté de fer
Don pour les langues
Célèbre marin
Mauvaise réputation
Sans terre (sans navire)
Faible pour le jeu (à 2)
Dette
Réputé mort
Emporté
Aucun
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CHARGES
MAGIE
Danseurs
Baronnie d'Amelame
Aucune
0
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Pts Ténèbre
Pts Perfidie
PEINES
BIENFAITS
0
0
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HISTOIRE :
Si je n’avais jamais vu le lever du soleil sur les vagues argentées de la mer scintillante, le visage face au vent glacé, les mains posées sur la barre gelée de la « Mirille », je n’aurais peut être jamais cru à la force de l’infini. Si je n’avais jamais entendu le chant des sirènes se mêlant au rythme des vagues sur les côtes de l’île des automnins, je n’aurais jamais connu le plaisir des larmes d’émotions collant sur les faces ahuries de mes marins si durs. Si je n’avais jamais vu le ballet de mille couleurs des voiles voguant sur la mer écarlate, comme une danse folle de navires drogués par les effluves des épices Khéshites s’échappant tels des clandestins de ces terres arides, alors je n’aurais jamais compris la beauté de ce monde. La mer m’a enseigné les Muses et leur création. Ma flamme, de jour en jour, se nourrit de leurs créations.
Mon retour à la baronnie de Moscagne, lieu de ma naissance, est un plaisir même si la mer me manque déjà. Mais après plus de 20 ans d’absence il me fallait revenir.
Je redécouvre cette baronnie où, avec mes amis que je retrouve enfin, nous avons grandi entre l‘enseignement stricte des maîtres du château et nos escapades plus ou moins autorisées. C’est étrange de se retrouver sur terre dans un lieu si familier et si étranger à la fois, ici la plupart des gens me considère comme un imposteur, même ma famille, il faut dire que j’ai quitté Moscagne il y a vingt ans, pas que je n’y étais pas heureux, mais cette baronnie était trop petite pour moi. Maintenant les gens me voient comme un brigand sans vergogne et ma mauvaise réputation à depuis longtemps fait le tour de Moscagne, mais peu importe.
Mon départ fût un peu romanesque, un jour des saltimbanques itinérants débarquèrent à Moscagne pour la fête du printemps, lors d’une de mes escapades nocturnes je me retrouvai sous leur tente et la vieille Lirdin me lut mon avenir qui me promettait mille voyages mais il fallait pour cela que je perde tout ce que j’avais. Sa prédiction me chamboula mais pas autant que sa petite fille Mirille dont je tombais amoureux au premier regard. Je décidais donc à 16 ans de tout quitter pour les suivre sur les routes.
La seconde fois que je tombais amoureux fut le jour où notre caravane atteint la mer Echancrée, je me souviendrais jusqu’à mon dernier souffle de cette image qui bouleversa ma vie. Mon âme fût partagée entre l’appel de la mer qui se faisait plus fort chaque jour et mon amour pour Mirille, c’est le destin qui choisit pour moi car Mirille mourut d’une maladie quelques mois plus tard. Je quittais alors la caravane pour parcourir les mers.
Je ne pourrais conter tout ce que je vis et vécu pendant ces années. Alors pourquoi quitter la mer ?
Après quelques années je réunis assez d’argent pour acheter un bateau, mais au pris de nombreux emprunts. Je louais les services de mon bateau et de son équipage au plus offrant quelque fut le marché, ce qui nous amena parfois à quelques situations intéressantes. Malheureusement la chance ne fut pas avec nous et rapidement mes créanciers me rattrapèrent, et je perdis la « Mirille ».
Je perdis mes dernières économies au jeu et je décidai donc de retourner à Moscale pour me faire oublier un peu et trouver l’argent qui me permettrait de repartir sur les mers.
C’est lors de mon retour que l’on me révéla ma flamme et lorsque j’appris que mes amis les plus proches étaient aussi des inspirés je décidais donc de m’unir à eux pour lutter contre le masque.
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NOTES :
NA

 
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